The Hammer Smashed Sounds blog posted a brief interview with Ovskum about the release of Atto III and the [planned but now unscheduled] tUMULt release of the 2008 demo. (02-22-2010)
An interview with Ovskum was published in 2009 in Ulvhel, a Polish journal with an interest in Nihilist philosophy and practice. (05-2009) Strangely, remarks by Ovskum from this interview were subsequently quoted by an academic speaking at Hideous Gnosis, a symposium on Black Metal and Theory, and subsequently re-quoted in the New York Times. (12-15-2009)
- Reviews -
Review of Atto III in Decibel Mazazine (US) (10-2010)
A stark, wholly unnerving solo [sic] black metal project from Italy, this is both inspiring and hideous. With no keyboards, no cheesy atmospherics and a creepy booklet of sinister drawings, the bio is the only think keeping me from believing this was put together by a couple of mental patients. This is music that's happy to test the audience, and is a very refreshing take on the scene. Less than 500 copies of this exist, and if there's justice in this cursed world, they'll all be picked up.
Review of Atto I-IIin Soleil-Noir (FR) (11-25-2007)
Voila une bien étrange formation quasiment inconnue et qui pourtant requiert toute mon attention. Ovskum est un groupe Italien formé en 2003, avec cinq démonstrations et deux splits avec leurs actifs. Il n'y a pas de concept particulier qui entoure le projet, pour preuves les compositions n'ont jamais de titre (d'où il est présence non pas d'tracklist). Ovskum nous propose simplement mais non moins sincèrement sa musique.
Atto I - Atto II est une compilation des deux deux démonstrations paru en 2004, compilation ayant vu le jour en 2006 au format tape chez Insikt, label de Kim d'Hypothermia et Lifelover, entre autres. Autant dire que le contexte permet de proposer une musique particulièrement maladive. 8 titres pour 53 minutes, avec en side A Atto I et en side B Atto II. Les deux manifestations étant même temps, il n'ya pas de différences fondamentales entre eux, d'où sans aucun doute l'idée de les réunir sur un seul objet.
Les oeuvres de Ovskum sont particulièrement perturbés. Extrêmement simpliste, il ne libère pas de lui, moins une atmosphère particulièrement glauque. On retrouve toujours un "personnage", avec la fonctionnalité fermé, réduit à sa plus simple expression: un aperçu des corps, les bras, puis le visage avec parfois un nez mais surtout des yeux, souvent accompagnée de larmes. Ces dessins si simpliste, sont pourtant très profond, sans aucun doute la sortie d'un esprit profondément torturé. Comme je l'ai dit il n'ya pas de concept particulier. Ovskum exprime la douleur mentale, que dis-je, la torture mentale, insoutenable et pourtant invisible. Une sincérité dans l'expression artistique qui ne peut être appréciée.
Quel autre style musical pouvait mieux exprimer la souffrance d'Ovskum que le black metal dépressif? Non, Ovskum n'invente rien. Oui, il est possible qu'un riff ou deux puissent sembler un peu convenus. Mais la force d'Ovskum est de proposer une musique profonde, sans calcul, sans autre idée en à la tête que de vomir ses tourments. Et le malaise nous saisis dès les premiers instants. Sans aucun doute aidé‚ par un «son de la cassette« inévitablement un peu approximatif.
On ressent dans chaque instrument, dans chaque note la profondeur de la peine d'Ovskum. Une musique certainement cathartique pour les membres, car comment exprimer pareille souffrance sans l'avoir au préalable ressentie dans ses tripes, dans ses veines, dans son esprit ? Le chanteur nous crache toutes ses angoisses, on ne sait pas ce qu'il dit, on le ressens : cris, pleurs, expression primaire dont le seul but est de libérée tout ces affects négatifs, chose impossible par les mots. Le batteur assomme d'un tempo régulier assez lent, hypnotique, comme les coup de poignard des idées noires. Et ces riffs... Cisaillée, découpée avec le son, lame de rasoir seulement des égratignures est offert aux arêtes vives, de glisser sur l'esprit comme la lame sur le pupitre. Tous ensemble, cela donne un sentiment presque ambiant, tant ce que les importations dans ces compositions est l'expression. Le groupe ne se souci pas de la technicité, ce qui compte est de se vider, jusqu'au moment où l'on ne ressentira plus rien, plus rien du tout.
Ovskum propose une musique vraiment intense, très sombre et surtout torturè. L'expression même du black metal dépressifs. Une musique … sharp, qui puise ses sources dans la folie même. Sans artifice, sans décor, sans discours inutile, Ovskum n'a strictement rien à envier aux chefs de file de ce genre musical. On ressort complètement abattu de l'écoute, comme si nous venions de subir la plus terrible des batailles.
Une excellente sortie, que je recommande fortement aux amateurs du genre.
Review of Atto I-II and '2006' demo (MC, Insikt) in Attila the Hun (web blog) (11-25-2007)
Excellent underground black metal from Italy, mid-paced black metal with some amazing composition that emanates a true feeling of despair, unlike many mediocre demo bands this is some excellent stuff! A must for fans of bands like Hypothermia, Austere etc.
Interview with Thurston Moore by J. Bennett in Decibel Magazine (05-27-2009)
Q: What’s in your current black metal rotation?
A: Most of the best stuff is on cassette, I find. There’s a band called Ovskum — I really like them.
Review of Ovskum/Necrolust split CD-r (Hearse / Raging Bloodlust), Final War: German Black Metal Webzine (09-04-2008)
Ovskum waren mir von der Split mit Necrolust bereits bekannt. Deshalb auch die niedrige Erwartungshaltung gegenüber ihrer ambienten, abwechselungsarmen Form des auditiven Extremismus. Und so kam es dann auch, dass schleichend aber sicher schrille Statik anfängt zu dominieren. Wirklich interessant ist das nicht, erzeugt aber zumindest die angestrebte Atmosphäre von Verlassenheit und Kälte manierlich. Die Spieldauer wirkt länger als sie eigentlich ist, ganz einfach, weil kaum etwas passiert. Bis ans Ende wird das Stück von klagender Kakophonie begleitet, um schließlich im konsequent durchgezogenen schleppenden Takt ins Grabe getragen zu werden. Am besten gefällt mir noch der schön trockene Klang des Schlagzeugs.